Des années de griffonnages sur le coin des tables des cafés, quelques cours de dessin, de pastel et d'acrylique, plusieurs ateliers de modèle vivant et une participation importante au recyclage du papier...voilà comment je vous tracerais la première esquisse de mes expériences si vous étiez une ou un intime.
Aussi bien continuer la présentation dans le même sens puisque vous deviendrez peut-être un de ceux ou celles qui accepteront de vivre en compagnie de l'une de mes créations.
J'ai choisi d'apprendre le dessin par l'observation du corps de ses courbes de ses chutes, de ses lignes, de ses nuances, de son caractère et de ses émotions.
L'attente a été longue avant de toucher à la couleur, cette grande inconnue que je n'osais approcher qu'avec beaucoup de retenue.
« Elle s'est lentement préparée dans l'ombre des années antérieures, et la voici qui s'épanouit comme un printemps soudain jailli du secret de la nuit. »[2]
Et déjà tant d'années d’apprentissage du métier de peintre.
Expositions de prestige
Depuis quelques décennies, les œuvres du peintre Jacques Sylvain ne cessent de vivre en lumière et en émotion. Ses tableaux ont été exposés dans plusieurs lieux d’exposition, dont la Société Nationale d’Horticulture de France, le Musée du Bronze d'Inverness, le Musée Marius-Barbeau de Saint-Joseph-de-Beauce, le Grand Théâtre de Québec, la Galerie du Palais Montcalm de Québec et la Maison Magella-Paradis de la Société artistique de Charlesbourg, au Moulin Marcoux de Pont-Rouge, à l'Escale du Roy de Cap-Santé.
Participation à des événements régionaux
Lauréat du symposium de peinture de Saint-Germain de Kamouraska catégorie patrimoine maritime et culturel, participation comme artiste invité à l'événement La mariée aux mille vagues, organisé par le Musée maritime du Bas Saint-Laurent, illustration de l'affiche du sentier de la Bouette (traversée pédestre du Saint-Laurent, à marée basse jusqu’à l’Île Verte).