Chute Kabir Kouba

Sault Saint Charles, chute de Lorette et chute Kabir Kouba, ces différentes appellations du lieu témoignent de plus de 400 ans de fréquentation.

Vous êtes invités à fréquenter le site pour sa beauté, son histoire et ses secrets.

Le Centre d'interprétation Kabir Kouba a réuni documents, photographies, fossiles et autres éléments susceptibles de vous aider à prendre la mesure de ses multiples attraits.

Kabir Kouba : Une histoire de communautés

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Découvrez l’histoire de la région autour de la magnifique chute Kabir Kouba. De la Nouvelle-France au XXe siècle, Kabir Kouba a été le berceau d’un développement démographique, culturel et industriel. De la Nouvelle-France au XXe siècle, l’histoire des environs de la chute Kabir Kouba a été marquée par nombre de communautés et d’individus ayant à cœur le développement, l’éducation ou… avec un sens pour les affaires! Kabir Kouba, histoire de communautés vous propose un voyage à travers les époques des premiers colons, des communautés religieuses, des meuniers, des hommes industriels, etc.

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Ce projet est rendu possible grâce à l’Entente de développement culturel entre le gouvernement du Québec et la Ville de Québec.

En plus du Centre d’interprétation ouvert 5 jours par semaine (15 boulevard des étudiants, Québec), la Corporation du parc de la falaise et de la chute Kabir Kouba offre aux familles des activités comme :

1. Des ateliers éducatifs (0$) - L’atelier de l’historien (plus de 12 ans) permet de pratiquer la déduction et la logique pour ordonner dans le temps les différents événements survenus à Kabir Kouba. L’atelier de l’archéologue (8 à 12 ans) permet de trouver différents artéfacts dans le but de les analyser pour comprendre leur contexte historique.

2. Kabir Kouba à la lanterne (10$) - Marcher dans la noirceur… Juste à côté d’une rivière qui chuchote des histoires… Avec vous : une lanterne pour vous permettre un déplacement sécuritaire dans le sentier, accompagné d’un guide qui vous dirige au travers de nombreuses histoires à propos du territoire où se trouve la chute Kabir Kouba. Vous pourrez ainsi en apprendre davantage au sujet des légendes, de la géologie, des moulins, et bien d’autres sujets qui donnent une vue d’ensemble sur l’histoire locale.

3. Une chasse au trésor (10$) - Les plus beaux trésors se trouvent parfois à quelques pas de chez nous ! Le trésor du meunier est l’un des plus célèbres à Kabir Kouba. Ce véritable trésor, enfoui depuis plusieurs dizaines d’années, serait composé d’objets divers et de pièces de monnaie en argent. Vous devrez venir en aide aux guides de la Corporation pour le découvrir. Ces derniers ont en effet trouvé sur une vieille disquette le scénario d’une activité qui avait pour but de localiser le fameux trésor.

4. Une journée à Loretteville (15$) - En avant-midi, participez à l’activité «Le trésor du meunier». Vous pourrez profiter de la pause dîner pour visiter le Centre d’interprétation et admirer les différents artéfacts en exposition (APPORTEZ VOTRE LUNCH FROID). Après le dîner, deux options s’offrent à vous. Vous pouvez décider de marcher avec notre guide jusqu’à Canots Légaré (1,2 km). Sinon, vous pouvez rejoindre notre guide avec votre voiture au centre de location (vous recevez un plan sur l’heure du midi).

5. Canots Légaré propose la location d’embarcations depuis 110 ans. Ce service permet à la population de découvrir la rivière Saint-Charles et le lac du même nom. L’expédition en rabaska d’une durée de 2 heures transforme votre vision du territoire. En bref, l’activité «Une journée à Loretteville» offre le potentiel de nous faire découvrir des aspects parfois méconnus de notre environnement…

Vous pouvez réserver sur le site Internet de la Corporation : http://www.chutekabirkouba.com

Veuillez consulter Google Maps pour connaître les heures d'ouverture du Centre d'interprétation : https://goo.gl/maps/Hq4vmMXuJHsjo5vj7

VOIR NOS ACTIVITÉS

Le Centre d’interprétation et la chute Kabir Kouba vous présente

les articles de la chute

L’épineuse question des biens des Jésuites

Depuis leur arrivée en Nouvelle-France, les Jésuites ont vu leurs possessions foncières s’accroître, notamment par des concessions de plusieurs seigneuries, dont celle de Saint-Gabriel. On affirme même que leurs propriétés formaient, sous le régime français, le plus grand ensemble de terres exploitées de toute la colonie (Alain Laberge, Portraits de campagnes. La formation du monde rural laurentien au XVIIIe siècle, Québec, Presses de l’Université Laval, 2011, p. 77-78.).