Villes et Municipalite Deschambault-Grondine

 

 

AGROTOURISME ET RESTAURATION

Vous êtes en quête de produits du terroir ou vous cherchez une bonne table pour un repas en famille? Plusieurs possibilités s’offrent à vous. Consultez la liste des établissements ci-dessous et vérifiez les dates d’ouverture de chacun; plusieurs commerces ne sont en opération qu’en saison estivale.

ALIKSIR

www.aliksir.com1040, chemin du Roy, Grondines418 268-3406

BISTRO LA FERME

www.bistrolaferme.com297, chemin du Roy, Deschambault418 286-2014

BOULANGERIE LE SOLEIL LEVAIN

234, chemin du Roy, Deschambault418 286-7246

CASSE-CROÛTE DU CAP

180, rue Mathieu, Deschambault418 922-2468

CASSE-CROÛTE DU MOULIN DES GRONDINES

600, chemin du Roy, Grondines418 268-3400

COOPÉRATIVE DE TRANSFORMATION DES VIANDES DE PORTNEUF

181, chemin du Roy, Deschambault418 286-0155

DOMAINE HÉBERT

450, chemin du Roy, Deschambault-Grondines,418 286-4797

FERME ANCESTRALE GERMAIN

http://fermeancestralegermain.com/362, Chemin du Roy, Deschambault418 286-6655

FROMAGERIE DES GRONDINES

www.fromageriedesgrondines.com274, 2e rang est, Grondines418 268-4969

JULIE VACHON CHOCOLATS ET CRÈMERIE GÉNÉRALE

julievachonchocolats.com243, chemin du Roy, Deschambault418 286-6698

LA P’TITE BRÛLERIE

www.laptitebrulerie.com109, rue de l'Église, Deschambault418 286-3219

LA SUCRIÈRE

https://lasucriere.ca/55, 2e Rang, Deschambault418 564-9805

LES JARDINS DE LA CHEVROTIÈRE

info@jardinsdelachevrotiere.com186, 2e Rang, Deschambault-Grondines, G0A 1S0418 286-3241

MAGASIN GÉNÉRAL PARÉ

https://magasingeneralpare.com/104, rue de l’Église, Deschambault418 286-3133

MARCHÉ PUBLIC DE DESCHAMBAULT

www.marchepublic.orgSur le pavé de la rue de l’Église, Deschambault418 326-2733

RESTAURANT-MOTEL LE CHAVIGNY

http://www.lechavigny.com/11, rue des Pins, Deschambault418 286-4959

RESTAURANT NORMANDIN

https://restaurantnormandin.com139 2e Rang, Deschambault418 286-6733

RESTAURANT SUBWAY

25 Rue des Pins, Deschambault418 286-6147

RESTAURANT CHEZ MOI

https://www.restaurantchezmoi.net/241, chemin du Roy, Deschambault418 286-6691

TIM HORTONS

152, Route Dussault Deschambault, QC G0A 1S0418 286-0002

VERGER DU ROY

levergerduroy.jimdo.com464, chemin du Roy, Deschambault418 931-0166
RENSEIGNEMENTS

 

BOUTIQUES, ART ET ARTISANS

Profitez de votre passage à Deschambault-Grondines pour rencontrer des artisans passionnés qui vous accueilleront chaleureusement. Vous découvrirez la richesse de leurs savoir-faire traditionnels ou contemporains. En fouillant les boutiques à la recherche d’une pièce unique, peut-être aurez-vous un coup de cœur pour un objet d’art ou une antiquité qui marquera votre visite?

Fer Forgé Ferboi

Boutique déco fer forgé

 

ANTIQUITÉS DESCHAMBAULT

antiquitesdeschambault.ca216 chemin du Roy, Deschambault418 286-6920

ATELIER PHÉBUS

www.atelierphebus.com435 chemin Sir-Lomer-Gouin, Grondines418 268-4484

LUTHERIE TOMMY DENIS

105 rue Gauthier, Deschambault418 286-2337

MOUTON NOIR – ÉBÉNISTERIE MARGINALE

50, 2è Rang, Deschambault418 286-6216

MYRTELLE SPAIN, TISSERANDE

100 rue de l'Église, Deschambault418 286-3713

SOURIS DES CHAMPS

www.sourisdeschamps.com105 rue de l’Église, Deschambault418 286-2426

 

CULTURE ET PATRIMOINE

Chacun des attraits de nos villages saura vous émerveiller par sa remarquable authenticité. Passé et présent se côtoient dans nos expositions historiques permanentes et nos événements en art visuel contemporain. Nos sites patrimoniaux époustouflants sont bordés d’espaces verts pour vous accueillir durant la belle saison. Venez marcher dans un livre d’histoire!

CENTRE D’ARCHIVES RÉGIONAL DE PORTNEUF

www.archivesportneuf.com12, rue des Pins418 286-2277

infos

ÉGLISE SAINT-CHARLES-BORROMÉE DE GRONDINES

485, chemin Sir-Lomer-Gouin, Grondines(418) 268-8688

infos

ÉGLISE SAINT-JOSEPH DE DESCHAMBAULT

110 rue de l'Église, Deschambault(418) 286-6891

infos

MOULIN À VENT DE GRONDINES

539 chemin des Ancêtres, Grondines(418) 286-6862

infos

MOULIN DE LA CHEVROTIÈRE

109, rue de Chavigny, Deschambault

infos

SENTIER DE LA FABRIQUE

Relie le Chemin du Roy au Chemin des ancêtres

infos

VIEUX PRESBYTÈRE DE DESCHAMBAULT

117 rue Saint-Joseph, Deschambault(418) 286-6891

infos

 

HÉBERGEMENT ET DÉTENTE

Besoin de repos, le temps d’une escale? Plusieurs lieux d’hébergement sont à la disposition des grands voyageurs qui sillonnent le chemin du Roy. Passez une nuitée dans l’un de nos gîtes ou réservez votre chambre dans une auberge au décor champêtre le temps d’un séjour. Table champêtre, vue sur le fleuve, vous trouverez le havre de paix qui vous convient.

AUBERGE CHEMIN DU ROY

www.aubergecheminduroy.com106, rue Saint-Laurent, Deschambault418 286-6958

GÎTE DU VILLAGE

www.bnbduvillage.com283, chemin du Roy, Deschambault418-286-6912

infos

CABINES MONT-VERNON

635, chemin des Ancêtres, Grondines418 268-8166

HÔTEL AU VIEUX BARDEAU

479, chemin du Roy, Deschambault418 286-3812

LA MAISON ALBERTINE

www.lamaisonalbertine.com328, chemin du Roy, Deschambault418 285-7545

RESTAURANT-MOTEL LE CHAVIGNY

www.lechavigny.com11, rue des Pins, Deschambault418 286-4959

 

PLEIN AIR ET DIVERTISSEMENT

Nos villages offrent de magnifiques sites en bordure du fleuve et plusieurs activités sont à votre portée : aires de pique-nique, observation d’oiseaux, baignade, sports nautiques, interprétation, chasse et pêche. Les amateurs de plein air peuvent aussi traverser une diversité de paysages champêtres en empruntant la Véloroute portneuvoise, ou pratiquer le motocross, l’équitation et la marche en sentiers.

CAP LAUZON

Rue Saint-Joseph et rue de l'Église, Deschambault

FERME MONTAMBAULT

334, chemin du Roy, Deschambault418 286-4477

HALTE DU SAINT-LAURENT

tourisme.portneuf.comChemin du Roy, Deschambault

infos

MARINA DE GRONDINES

Route du quai, Grondines

MOTOCROSS DESCHAMBAULT

http://motocrossdeschambault.com/fr/356, 3e Rang, Deschambault418 268-3173

VÉLOROUTE PORTNEUVOISE

tourisme.portneuf.comChemin du Roy, Deschambault-Grondines418 268-3735

Présentation

Population 2259 habitants
Superficie 123.67 km*km
Densite 18.27 habitants/km*km
Latitude 46.65 °
Longitude -71.93 °
Gentilé Deschambaultien, ienne

Plus d'informations

HISTOIRE DES VILLAGES

DESCHAMBAULT-GRONDINES

En 2002, deux villages anciens de la rive nord du fleuve Saint-Laurent, entre Québec et Trois-Rivières, fusionnent pour former la nouvelle municipalité de Deschambault-Grondines.

Jadis simples voisins, les deux mille résidants des villages fusionnés deviennent partenaires dans la construction de Deschambault-Grondines, lieu de culture, d’accueil et de mémoire.

UN TERRITOIRE HABITÉ

Longeant le fleuve Saint-Laurent sur plus de 20 kilomètres, le territoire de la municipalité de Deschambault-Grondines représente une superficie d‘environ 125 kilomètres carrés. Cette portion des basses terres du Saint-Laurent repose sur une grande formation de roche sédimentaire, un calcaire d’ailleurs largement utilisé dans les constructions locales. Paysage fluvial marqué par le système seigneurial et l’agriculture, le territoire de la municipalité recèle les traces des milliers d’hommes et de femmes qui y ont vécu et qui s’y sont investis corps et âme.

Il est permis de croire que des Amérindiens ont fréquenté la région à l’époque paléoindienne, au moment où la mer de Champlain s’est retirée, il y a environ 10 000 ans. Les premières preuves d’occupation du territoire portneuvois sont cependant apportées par les fouilles menées à Saint-Augustin. La plupart des outils qu’on y a trouvés « sont caractéristiques de la période appelée Archaïque laurentienne qui s’étend entre 1000 et 4000 avant Jésus-Christ ».1

À Deschambault, le site Masson fait foi de l’implantation des Iroquoiens du Saint-Laurent. « Selon l’archéologue José Benmouyal, ce lieu aurait été occupé entre 1450 et 1520 pendant quelques années. Ce village non palissadé, situé sur une ancienne terrasse marine d’une élévation de trente mètres au-dessus du niveau de la mer, comprenait trois ou quatre maisons longues et une maison plus petite. Il aurait abrité de 150 à 200 personnes. » 2

UN PREMIER VISITEUR

« Le premier Européen à fouler le sol de Deschambault fut Jacques Cartier, lors de son deuxième voyage, en 1535. Le 19 septembre, une dizaine de jours après son arrivée à Stadaconé, il repartit vers Hochelaga à bord de l’Émérillon. À la hauteur du site de Deschambault, il fut arrêté par des rapides et dut attendre la marée haute. Non loin de là s’élevait une bourgade nommée Achelay dont le chef fit grand accueil à Cartier. » 3

UNE AUTRE HABITATION DE CHAMPLAIN

Le 24 juin 1603 (fête de la Saint-Jean), Champlain passa à Deschambault, 68 ans après la visite de Cartier. C’était son premier voyage dans la vallée du Saint-Laurent et il n’allait fonder Québec que cinq ans plus tard.

Le pays le séduit et il est particulièrement frappé par l’aspect du fleuve qu’il décrit ainsi : « Ce passage est fort dangereux à passer pour  quantité de rochers qui sont au travers de la rivière, bien qu’il y aye bon achenal lequel est fort tortu, où la rivière court comme un ras, et faut bien prendre le temps à propos pour le passer ». Les rapides Richelieu seront, jusqu’au milieu du XIXe siècle, un important obstacle à la navigation sur le fleuve.

À l’été 1633, après avoir repris possession de Québec occupé pendant trois ans par les marchands anglais, Champlain vit la possibilité de créer de nouveaux établissements dans la colonie. Et c’est précisément sur l’îlot, au milieu des rapides auxquels il donna le nom de Richelieu, qu’il installa le premier poste de traite en amont de Québec. Très vite, des Amérindiens y viendront pour échanger des pelleteries. Champlain fera fortifier cet endroit, car il permet de contrôler le passage sur le fleuve où circulent des maraudeurs iroquois.

DES SEIGNEURIES

 

Les seigneuries des Grondines et de Deschambault furent concédées à la même époque par la Compagnie de la Nouvelle-France dites Compagnie des Cent-Associés.

Carte Catalogne

Carte de Gédéon de Catalogne (partie) dressée en 1709 par Jean-Baptiste Decoüagne.

En 1637, la duchesse D’Aiguillon obtient la promesse qu’une seigneurie sera concédée aux religieuses de l’Hôtel-Dieu de Québec. C’est le père Jérôme Lallemant qui agira au nom des religieuses lors de la prise de possession de la seigneurie « Des Grondines », signée en 1646 par Charles Huault de Montmagny, gouverneur et lieutenant général pour le Roi de France. En 1672, la seigneurie sera agrandie vers l’Est en faveur des pauvres. La première confirmation y sera célébrée par nul autre que Monseigneur de Laval en 1676.

François de Chavigny, sieur de Berchereau, et demoiselle Éléonore de Grandmaison, sa femme veuve d’Antoine Bourdier, se voient accorder en 1640 une concession d’une lieue et demie de terre en large à prendre le long du fleuve Saint-Laurent sur trois de profondeur. Leur choix s’arrêtera sur les terres se trouvant aujourd’hui dans la partie est de Deschambault. Après le décès de Monsieur de Chavigny en 1651, Éléonore de Grandmaison épousera Jacques de Gourdeau, sieur de Beaulieu, puis après la mort de ce dernier, Jacques Cailhaut de la Tesserie de Lachevrotière. Ce n’est qu’après le décès de Monsieur de Lachevrotière qu’elle obtient, en 1672, la concession des terres enclavées entre la seigneurie des pauvres de l’Hôpital de Québec et le fief de Chavigny.

DES NOMS ANCRÉS DANS L’HISTOIRE

Le nom de Grondines est fort ancien. Il apparaît sur une carte de 1632. En 1712, dans son rapport sur les seigneuries, Gédéon de Catalogne explique ce nom par le « grand nombre de battures de gros cailloux qui se trouvent au-devant, ce qui fait que, lorsqu’il vente, les eaux y font grand bruit ».

Pour sa part, Deschambault doit son nom à Jacques-Alexis Fleury d’Eschambault (1642-1715), époux de Marguerite de Chavigny. Cette dernière était la fille de François de Chavigny et d’Éléonore de Grandmaison, ceux-là mêmes qui avaient obtenu une concession en 1640.

DES BÂTISSEURS NÉS AU PAYS

Les premiers colons qui viennent s’établir à Grondines et à Deschambault proviennent de familles déjà implantées en Nouvelle-France, sur la côte de Beaupré et à l’île d’Orléans. Bien que les terres soient concédées au milieu du XVIIe siècle, peu d’entre eux viendront s’installer de façon définitive avant 1670, car jusque-là, le climat politique ne favorise guère la colonisation; les Iroquois armés par les Hollandais de Fort Orange (Albany, N.Y.) constituent une menace trop importante.

Les Josson, Hamelin, Masson, Leduc, Couillard, Tousignant, Mailhot, Saint-Amant, Hudde, Chastenay, Sauvageot choisiront Grondines; les Arcand, Naud, Mayrand, Cloutier, Gauthier, Gariépy s’installeront à La Chevrotière; les Pérost, Paquin, Groleau, Abel dit Benoit et Montambault s’établiront à Deschambault. En 1709, l’ingénieur Gédéon de Catalogne dénombre 35 familles à Grondines, 22 à La Chevrotière et 18 à Deschambault. En 1762, les trois seigneuries comptent 663 âmes.

UN TERRITOIRE ORGANISÉ

« La première occupation du sol en Nouvelle-France s’est effectuée par l’intermédiaire d’une unité territoriale, une sorte d’unité de voisinage, qui s’est appelée la côte et par la suite le rang. Au début, la côte est riveraine et désigne des alignements de censives disposées perpendiculairement ou presque aux rives des cours d’eau. Lorsque les berges furent occupées, un second alignement se répéta derrière le premier, relié à celui-ci par un chemin appelé Montée. Un troisième, un quatrième, un cinquième alignement pouvaient suivre dans cet ordre. […] Ce milieu sera ainsi organisé physiquement par le parcellaire du rang, socialement par la paroisse et administrativement par la seigneurie. » 4

L’unité administrative, aujourd’hui reconnue comme étant la municipalité de Deschambault-Grondines regroupe les trois premiers rangs de quatre seigneuries, soit celles des religieuses de l’Hôtel-Dieu, des pauvres, de La Chevrotière et de Chavigny ou Deschambault. Deux paroisses viendront rassembler les habitants : Saint-Charles-des-Roches ou Grondines, dont les registres ont été ouverts en 1680, et Saint-Joseph-de-Deschambault, dont les registres ont été ouverts en 1713. Si la paroisse renvoie aujourd’hui au territoire associé à la gestion d’un Conseil de fabrique, il n’en demeure pas moins que l’organisation du milieu physique conserve toutes les traces de ce pôle ayant pour centre l’église et ses clochers.

UN RICHE PATRIMOINE RELIGIEUX

Le patrimoine religieux figure au premier rang parmi les témoins de l’établissement et de l’enracinement des communautés de Grondines et de Deschambault. L’héritage de la tradition catholique est certes concrètement visible (églises, presbytères, cimetières, couvents, croix de chemin et calvaires), mais il s’exprime aussi à travers des phénomènes qu’on rattache au patrimoine immatériel. À ce chapitre, des efforts sont consentis pour la transmission de certaines traditions comme la messe de minuit, la musique sacrée et le chant grégorien.

Les communautés religieuses vouées à l’enseignement ont grandement contribué, non seulement à l’éducation des enfants, mais aussi à la vie culturelle des villages au regard de la littérature, de la musique, de l’art dramatique, du dessin et de la peinture. Les sœurs de la Charité de Québec ont maintenu leurs activités à Deschambault de 1861 à 1994 et les religieuses du Saint-Cœur-de-Marie à Grondines de 1944 à 1966.

UN PATRIMOINE ARCHITECTURAL RECONNU

« Dans Portneuf, un air de famille caractérise l’architecture. Les maisons — dont certaines parmi les plus anciennes au Québec — sont faites en pierre calcaire, un matériau abondant dans le sous-sol de cette région, notamment à Saint-Marc-des-Carrières et à Neuville. On retrouve à Deschambault, à Cap-Santé et à Neuville de nombreux bâtiments des XVIIe et XVIIIe siècles aux murs montés en moellons grossièrement équarris, coiffés de toits pentus, massés autour de très anciennes places d’église, ou disposés le long du chemin du Roy. Ces ensembles sont uniques. » 5
La reconnaissance acquise grâce au mouvement de sauvegarde et de mise en valeur du patrimoine qui perdurent depuis la fin des années 1960 a des effets tangibles dans la municipalité : dix édifices sont classés en vertu de la Loi sur les biens culturels du Québec; les aires de protection attachées à certains de ces édifices ont permis de conserver une cohérence dans l’aménagement du territoire; le Conseil des monuments et sites du Québec a adopté, en 1982, une charte de conservation du patrimoine québécois nommée Déclaration de Deschambault; la municipalité fait partie de l’Association des plus beaux villages du Québec depuis la fondation de ce regroupement en 1997; des maisons anciennes de Deschambault-Grondines trouvent des acquéreurs passionnés par la conservation du patrimoine chaque année, ce qui contribue à la reconnaissance de la municipalité tant pour ses qualités architecturales que pour la qualité de vie qu’elle offre à ses citoyens.

 

Moulin Banal                 Maison Jean Boudreau

Maison Sewell                 vieux relais de poste

Vieux presbytère Deschambault                 Moulin de la Chevrotière

Presbytère Grondines                 salle des habitants

Veuve-Groleau                 Maison Delisle

École St-Charles de Grondines                 

église Deschambault                 Calvaire Alexandre-Naud

Couvent Deschambault

 

1. Camille Lapointe, « Archéologie portneuvoise », Continuité, été 1991.
2. Camille Lapointe, « Archéologie portneuvoise », Continuité, été 1991.
3. Deschambault sur le fil du temps, Éditions Va Bene, 2002.
4. Jean-Claude Marsan, Habitat, architecture et culture au Québec, Encyclopédie de l’Agora.
5. Yves Laframboise, Villages pittoresques du Québec, Éditions de l’homme,1996